A partir del “Portico de la Gloria” de la catedral de Santiago de Compostela, en España, y de la catedral de Borda, en Taxco, México -que Malcolm Lowry calificaba como “horriblemente bella” (en una carta a su editor, Jonathan Cape)- surge esta interpretación gráfica del barroco. En la imagen grabada, el pórtico español sirve de núcleo en torno al cual se configura la catedral de Borda. El grabado se construye a partir de una fachada abigarrada, de formas que contradicen el orden espacial: los círculo de los vitrales aparecen descentrados, las figuras intentan escapar a los planos frontales que las definen, hay pocos lugares donde encontrar una salida. La superficie de la fachada aparece como un espejo de formas en contínua mutación, ante la obscuridad de los zócalos que se abren hacia el interior del templo.

This graphic interpretation of the Baroque is drawn from both the “Portico de la Gloria” in the cathedral of Santiago de Compostela in Spain and Borda’s Church of Santa Prisca in Taxco, Mexico (which Malcolm Lowry described as « horribly beautiful » in a letter to his editor Jonathan Cape). In the engraved image, the Spanish portico serves as the core around which the church is formed. The engraving is constructed from a complicated facade, in ways that contradict the spatial order: the stained-glass circle appears off-centre, the figures try to escape the frontal planes that define them, but there are few places to find an exit. The surface of the facade appears like a mirror of forms in continuous mutation, before the darkness of the doors that open towards the interior of the temple.

A partir du « Portique de la Gloria » de la cathédrale de Santiago de Compostelle, en Espagne, et de la cathédrale de Borda, en Taxco, Mexico – que Malcolm Lowry qualifiait comme « horriblement belle » (dans une lettre à son éditeur, Jonathan Cape)- surgit cette interprétation graphique du baroque. Dans l’image gravée, le portique espagnol sert de noyau autour duquel se configure la cathédrale de Borda. La gravure se construit à partir d’une façade complexe, et à l’encontre de l’ordre spatial. Les cercles des vitraux apparaissent décentrés, les figures tentent d’échapper aux plans frontaux qui les définissent, il y a peu d’endroits où rencontrer une sortie. La superficie de la façade apparait comme un miroir de formes en continuelle mutation, devant l’obscurité des portes qui s’ouvrent vers l’intérieur du temple.